du 6 au 20 novembre 2016 Galerie Clémangis CHALONS EN CHAMPAGNE
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Exposition
des peintures
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Jacques Kichinevsky est né en France, mais ses origines slaves constituent la trame de sa personnalité et de son art. Le dessin a toujours été́ son mode d’expression privilégié́. Jusque dans les années 80, il est figuratif, puis un changement brutal intervient dans sa démarche et il devient, selon sa propre expression «réaliste abstrait». La maîtrise des matières lui permet de s’orienter vers des tendances plus abstraites. Cependant, sa peinture reste inspirée par le monde environnant, les voyages, les découvertes, mais Il trouve une autre façon d’exprimer le vécu. Puis il se tourne vers la technique du collage, qui lui permet d’appréhender la matière d’une façon différente et surtout le papier, dont l’infinie variété́ des états le passionne. Il collecte des fragments d’affiches, de cartons, des objets liés à certains épisodes de sa vie qui ont éveillé́ en lui des émotions. Son travail tactile et sensuel exulte au travers de grandes compositions peintes sur papiers marouflés sur toiles ou sur bois.
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Jacques Kichinevsky compose des tableaux au format panoramique associant des matériaux de récupération. Il incorpore des reliefs à des surfaces peintes, intègre des objets détournés : tissus, gaze ou des papiers chiffonnés, imprimés, froissés, tissés préalablement trempés dans des couleurs acryliques. Cartons ondulés, emballages brillants, papiers kraft, fils de fer, capsules, tickets de cinéma ou de bus, trames rayées… animent son quotidien pictural. Chaque élément est trituré, retravaillé, vieilli, coloré, par les mains de l’artiste avant d’être collé. A ces différentes textures, ils mêlent des aplats colorés ou hachurés alternant surfaces planes et reliefs. | ||||||
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Il gratte, enlève, ajoute et organise, par un habile processus de transformation de la couleur, l’apparent chaos d’une matière bouillonnante. Faut-il tenter de reconnaître des formes figuratives ou se laisser aller à la contemplation d’une composition colorée ? Jacques Kichinevsky compare volontiers sa peinture à la musique, en hommage aux abstraits russes du début du XXème siècle. Dans cette symphonie d’éléments réanimés sont ménagés des «accords, répétitions, rythmes, silences, voire même, trous, blancs et vides». Il cherche à faire du jetable une source d’inspiration pour témoigner de son temps tentant comme il dit «d’accorder ce qui est désaccordé».
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Une assistance nombreuse était présente à ce vernissage présidé par Nelly Lapierre-Charton, en présence de l'artiste et de Madame Frédérique Schulthess, représentant la municipalité... |
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... sous le signe de la convivialité |
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Jacques Kichinevsky : peintre,
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